Où tous les soirs s’en vont danser les cœurs impatiens d’aimer
Joue des valses en mineur
Qui font jusqu’au lever du jour
Et sur cette air qui vient bercer (Derrière les rideaux fanés)
Les couples enlacés (Un soir j’ai cru trouver)
J’ai cru trouver par un beau soir (Dans le regard d’un beau garçon)
Mon plus ardent espoir… (L’espoir d’un doux frisson…)
Au fond de ses grands yeux (Le reste de la nuit)
Brillait un tendre aveu (Serrée tout contre lui)
Le grand bonheur, je l’ai connu (Le grand bonheur, je l’ai connu)
Au fond d’un quartier solitaire
Le long des maisons sans lumière
Des ombres passent sans bruit
Où tous les soirs s’en va rêver
Joue des valses en mineur
Qui font jusqu’au lever du jour
Et sur cet air qui vient bercer
Mes souvenirs toute la nuit
Pour un instant trop court
Tout mon bonheur, je l’ai perdu
Hélas mon amour éphémère (mais dans le matin triste et blême)
S’enfuit un beau matin (l’amour s’en est allé)
Je n’ai dans mon cœur solitaire (pour l’entendre dire : je t’aime)
Plus rien qu’un triste refrain (je lui avait tout donné)